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10 récits Splashed! : entre anecdotes vérifiées et légendes tenaces du cinéma & de la musique

perles et anecdotes cinéma et musique

 Dans cet article, nous vous proposons des anecdotes sur le cinéma et la musique agrémentées de visuels Splashed!. Bonne lecture.


Orange mécanique – Kubrick, McDowell et la mécanique du chaos

Anecdote documentée

Comme nous sommes dans l’article des perles et anecdotes sur le cinéma et la musique, allons-y directement. On ne regarde jamais Orange mécanique pour se détendre. On le regarde pour être secoué, dérangé, fasciné, puis vaguement inquiet de ses propres pensées. Kubrick, ce doux pervers visuel, savait très bien ce qu’il faisait : il voulait qu’on se souvienne du film comme d’une expérience psychologique autant que cinématographique. Spoiler : mission réussie.

  • Le plus ironique ? Kubrick a tellement bien réussi à choquer le public britannique qu’il a lui-même demandé, en 1973, le retrait du film au Royaume-Uni pendant 27 ans. Oui, le réalisateur a banni son propre film. Un peu comme si vous retiriez la playlist Spotify que vous venez de créer sous prétexte qu’elle pourrait être trop « dangereuse pour la société ». Respect. Le film ne réapparaît au Royaume-Uni qu’après la mort du maître, en 2000.
  • Et que dire de Malcolm McDowell, martyr artistique, victime consentante de la scène des paupières forcées ? Le pauvre acteur a fini avec une égratignure réelle à la cornée, l’œil tellement sec que même la crème hydratante de mamie n’y aurait rien fait. Le médecin dans la scène ? Un vrai médecin. Chez Kubrick, même les figurants ne trichent pas.
    Source : British Board of Film Classification, Case Study: A Clockwork Orange.

Splashed! adore ce moment : le réalisateur qui contrôle tout, jusqu’à la disparition volontaire de son propre film. La quintessence de Kubrick : obsession, paranoïa, perfection.

Anecdote « légende populaire »

  • Mais la rumeur va plus loin. Malcolm McDowell, lors de la scène des paupières forcées « aurait perdu la vue plusieurs heures. » C’est faux, mais la légende colle si bien à l’ambiance que personne ne veut la lâcher.

Bref : un film qui ne caresse jamais dans le sens du poil – et donc une source parfaite pour un tableau qui vous observe autant que vous l’observez.

Splashed!-style

Orange mécanique, c’est un peu l’histoire d’une société, d’une ultraviolence chorégraphiée… et d’un acteur qui découvre ce que ça fait quand un réalisateur traite ton globe oculaire comme un projecteur IMAX.
C’est ça, le cinéma : parfois tu joues, parfois tu deviens un accessoire.
Chez Splashed!, on a simplement choisi la version où on t’en met plein les yeux.

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anecdotes sur le cinéma et la musique concernant orange mécanique
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Freddie Mercury – la voix étudiée par la science

Anecdotes documentées

Freddie Mercury n’entrait pas sur scène : il surgissait. Micro demi-pied à la main, torse nu, posture de gladiateur pop. Sa voix, capable de passer du murmure au volcan en une demi-seconde, faisait de chaque concert un opéra rock à lui seul.

  • Quand Queen a enregistré Bohemian Rhapsody, ils ont empilé les voix jusqu’à donner l’impression qu’une chorale entière chantait dans une minuscule cabine. Résultat : près de 160–180 pistes vocales (overdubs), multipliées encore et encore. Selon Brian May, la bande magnétique est devenue si usée à force d’être « bounced » et réenregistrée qu’ils ont pu la tendre à la lumière… et « voir à travers » – comme si la musique elle-même s’éclipsait. Le producteur Roy Thomas Baker se souvient de cette folie en studio : « On ne savait pas du tout comment ça allait sonner à la fin – six minutes, trois sections (ballade, opéra, hard rock), des centaines d’overdubs… On se tenait dans la régie, et quand tout s’est assemblé, on a réalisé qu’on écoutait une page d’histoire. »
    Sources : M Music & Musicians Magazine & Wikipédia & soundonsound.com
  • Une étude de 2016 démontre que Mercury utilisait un vibrato proche d’un baryton, avec un contrôle atypique des harmoniques vocales. Oui : des chercheurs ont analysé Freddie Mercury comme d’autres analysent des phénomènes astrophysiques. On comprend mieux pourquoi Freddie a tout conquis : Wembley 1986, où il transforme 70 000 personnes en chœur géant / Live Aid, où il atomise littéralement tous les autres artistes / Ses costumes, mélange d’excentricité glam et de précision militaire.
    Source : Herzel et al., Journal of Voice (2016).

Anecdote « légende populaire »

La rumeur affirme qu’il aurait tenu une note « près d’une minute » en répétition. Aucune preuve, aucun enregistrement… mais on a tellement envie d’y croire.

Splashed!-style

Freddie, c’est la peinture faite note. Chaque portrait devrait pouvoir chanter. On essaie, promis.
Visuellement, Freddie Mercury est une orgie de contrastes :
– blanc éclatant
– or, rouge, velours, cuir
– gestes immodérés
– regard qui veut manger le public

Chez Splashed!, Mercury est la métaphore humaine de l’ubris. Un tableau de Freddie Mercury doit être ambitieux, excessif, lumineux – sans jamais perdre la discipline secrète qui se cache derrière son chaos scénique.

Avouez que ces anecdotes sur le cinéma et la musique ont de quoi vous laisser sans voix — de véritables moteurs à mythes.

anecdotes sur le cinéma et la musique concernant Freddie Mercury

Pulp Fiction – Tarantino, le twist improvisé et la coolitude absolue

Anecdotes documentées

Le jour où Tarantino a décidé que Pulp Fiction serait un puzzle narratif sous cocaïne, Hollywood a dû se dire : « Bon… au moins, ce gars ne fera jamais un film ennuyeux ». Là aussi : mission accomplie.

  • La scène de danse Travolta–Thurman n’a jamais été officiellement chorégraphiée. John Travolta, n’a reçu aucune instruction précise du réalisateur – juste un encouragement façon « Fais comme si tu imitais un type qui imite quelqu’un qui danse ». Du génie. Travolta s’est entraîné en regardant une vidéo de danse des années 50. Résultat : une chorégraphie absurde, élégante, iconique. La pop culture mondiale lui dit merci. C’est devenu un mythe du cool. Pulp Fiction, c’est un film où tout est millimétré… sauf la scène la plus culte. Travolta confirme dans Vanity Fair : « On a improvisé ! »
    Source : Quentin Tarantino, Pulp Fiction – The Bible, archives Miramax ; Vanity Fair, 2013.
  • Autre joyau : le diner inspiré du Jack Rabbit Slim’s. On aurait pu croire que ce décor était pensé pour être un temple du cool. Mais il est inspiré d’un vrai diner de Los Angeles… où un chat dormait en permanence sur les banquettes. Tarantino voulait l’inclure dans la scène. Le chat a refusé. Méthode Stanislavsky.
    Détail vérifiable dans les interviews de l’équipe déco (Jack Rabbit Slim’s).

Splashed! adore cet instant où un réalisateur dit « on s’en fout du plan parfait, faites un truc vrai ». Et ça marche.

Anecdotes « légendes populaires »

  • Une rumeur raconte que le montage non linéaire aurait été décidé au hasard, au dernier moment, les bobines tirées comme un tirage du Loto. Tarantino a démenti. Mais on aime l’idée d’un « Film culte version Random Shuffle ».
  • Et l’intérieur de la mallette ? Même les acteurs n’en savaient rien. Cela a permis des théories dont Internet ne s’est toujours pas remis, dont la meilleure : « C’est l’âme de Marsellus Wallace ». Internet, ne change jamais.

Splashed!-style

Chez Splashed!, Pulp Fiction est un terrain de jeu : contrastes violents, dialogues cultes, poses iconiques, styles rétro, couleurs saturées. C’est un film qui ne raconte pas une histoire : il raconte des attitudes. Et les attitudes, ça se peint merveilleusement bien.

Pas mal, non ? Ces anecdotes cinéma et musique redonnent un sérieux coup d’amplification aux mythes.

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anecdotes sur le cinéma et la musique concernant Pulp fiction
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anecdotes sur le cinéma et la musique concernant Pulp Fiction
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Metallica – riffs, micros fondus et chaos sonore

Anecdotes documentées

Metallica fonctionne comme une centrale nucléaire émotionnelle où chaque riff sert d’excuse pour rappeler au public que le volume « normal » n’a jamais fait partie de leur vocabulaire. Dans les années 80, leur réputation sur scène tient presque du mythe. Un concert de Metallica était un mélange de marathon physique et de séance d’exorcisme collectif. James Hetfield hurlait comme s’il négociait directement avec les enfers, Lars Ulrich jouait avec l’élégance d’un marteau-piqueur et Kirk Hammett transformait chaque solo en montée d’adrénaline pure. Cliff Burton, lui, réinventait littéralement la basse, à coups de distorsions que personne n’avait osé pousser aussi loin.

  • Pendant Master of Puppets, le producteur Flemming Rasmussen raconte que certains micros ont fondu sous la chaleur et la puissance des amplis Mesa/Boogie. Fondu. Littéralement.
    Source : Interview Flemming Rasmussen, Metal Hammer, 2016.
  • Autre anecdote culte : lors de la tournée …And Justice for All, le groupe avait tellement de décors mécaniques que l’équipe technique transportait une mini-aciérie ambulante. Une scène s’effondrait, des tours explosaient, des lumières prenaient feu, le tout volontairement évidemment. Metallica avait décidé que le chaos serait un élément du spectacle – et, ironie suprême, tout était millimétré. Le désordre le plus punk du monde… entièrement chorégraphié.
    Source : Article « Stadium Rock » sur la Damaged Justice Tour décrivant la statue de Justice s’effondrant en fin de morceau …And Justice for All. Documentation tirée d’un Tour diary / article historique mentionnant la statue « Doris », ses 35 pieds et sa destruction contrôlée chaque soir. Rapports d’incidents pyrotechniques lors de concerts ultérieurs (Mexico 2012), où des effets spéciaux, faux accidents, flammes et chutes de la structure scénique ont été filmés.

Splashed! adore : quand ta musique devient physiquement dangereuse, c’est que tu as trouvé le bon son.

Anecdote « légende populaire »

  • Lars Ulrich aurait balancé une batterie depuis un balcon parce qu’elle « sonnait mal ». Jamais vérifié. Mais plausible, puisque le monsieur sait transformer un coup de caisse claire en débat national (cf. l’époque St Anger).

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Metallica, c’est la rencontre entre une forge, un marteau, de la sueur, du feu et quatre gars qui aiment faire du bruit. Quand on peint Metallica, on peint l’électricité, pas les cordes.
Dans l’univers Splashed!, Metallica est une bénédiction visuelle :
– textures métalliques
– palettes sombres, contrastées, saturées de couleurs et de carbone
– silhouettes agressives, énergiques
– proportions déformées par la tension électrique

Un tableau de Metallica n’a pas à être harmonieux : il doit faire vibrer, presque déranger, comme une onde de choc qui dépasse le cadre. Chez Splashed!, l’énergie prime sur la précision – exactement comme dans un bon riff de « Master of Puppets ».

Alors ça vous en bouche pas un coin ces anecdotes cinéma et musique qui amplifient les mythes et les légendes !

anecdotes sur le cinéma et la musique concernant metallica

Catherine Deneuve – l’art de dire tout sans rien dire

Anecdotes documentées

Bon, mettons-nous d’accord tout de suite, Catherine Deneuve ce n’est pas une actrice : c’est un climat, une pression atmosphérique, un putain d’arc-en-ciel.

  • Elle est l’une des rares artistes françaises dont les costumes ont été dessinés personnellement par Yves Saint Laurent. Pas une collaboration marketing avant l’heure : une vraie amitié artistique. YSL appelait Deneuve sa « muse moderne », ce qui se vérifie dans Belle de Jour, où il conçoit plus de 30 pièces, toutes iconiques. Imaginez, avoir votre propre YSL dans votre dressing pour votre habillage quotidien ! Nous ne sommes clairement pas tous égaux.
    Source : Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent.
  • Jacques Demy, sur Les Parapluies de Cherbourg, demande à Catherine Deneuve : « Ne surjoue rien. Laisse ton visage parler. »
    Elle raconte dans une interview INA qu’il voulait « la neutralité expressive, pas le pathos ».
    Source : INA, entretiens Catherine Deneuve, archives France Culture.

Le résultat ? Une émotion qui explose précisément parce qu’elle est contenue. Chez Splashed!, on appelle ça « la couleur qui hurle sans crier ».

Anecdotes « légendes populaires »

  • On raconte qu’elle ne regarde jamais ses propres films. Faux. Elle l’a dit : elle regarde ce qu’elle a besoin de voir, sans se repasser sa carrière comme un binge Netflix. Mais la légende lui va bien : trop icône pour se revisionner.
  • Plus surprenant : Deneuve collectionne les parapluies. Un clin d’œil aux Parapluies de Cherbourg, mais aussi un jeu avec les fans qui lui en envoyaient parfois en cadeau (une stratégie assez risquée en termes de stockage, à moins de vivre dans un hangar). Aucune source fiable – article, interview, biographie ou dossier – qui confirme l’anecdote.
  • Catherine Deneuve refuserai catégoriquement de transpirer devant une caméra. Elle aurait d’ailleurs un assistant ventilateur. La dinguerie ! Ça serait tellement fascinant mais aucune source (interview, making-of, témoignage de plateau ou biographie reconnue) ne l’atteste.

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Ce qu’on oublie souvent, c’est que Deneuve a toujours été une actrice audacieuse, qui choisit ses rôles comme d’autres choisissent des duels : avec un mélange de tactique et de panache. Elle passe de Demy à Polanski, de Buñuel à Téchiné, sans jamais perdre sa signature : froideur apparente, intensité subtile, mystère total.

En peinture digitale, Deneuve est un rêve :
– lignes nettes
– regard immobile, mais expressif
– silhouettes qui semblent sculptées par le cadre
Tout ce qui fait d’elle une icône se traduit instantanément en image. Deneuve, c’est l’art de l’expression minimaliste version Dolby Vision.
Un sourcil → un roman.
Un silence → un opéra.

Impressionnant ces anecdotes sur le cinéma et la musique n’est-ce pas ?

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Amy Winehouse – une voix brute, pas d’autotune, pas de triche

Anecdote documentée

Amy Winehouse chantait comme si elle avait tout vécu deux fois : une fois dans la vraie vie, une fois dans une autre dimension réservée aux âmes épuisées. Sa voix, mélange impossible de jazz, de chaos et de pure fragilité, n’appartenait à personne. Elle ne faisait pas semblant. Elle ne savait pas faire semblant.

  • Pendant l’enregistrement de Back to Black, Mark Ronson racontait qu’Amy écrivait ses textes comme on écrit un constat d’accident : sans détour, sans maquillage. En studio, elle enregistrait souvent en une seule prise, puis elle sortait fumer, comme si livrer une performance monstrueuse était un geste banal. « Si on recommençait, elle perdait la vérité de l’émotion. » ajoutait-il.
    Source : Amy (A. Kapadia), archives d’enregistrement filmées.

Résultat : une voix qui sonne comme un vinyle qui pleure.

Anecdote « légende populaire »

  • On raconte qu’une session mythique aurait été enregistrée « entre deux fou-rires, une tasse de thé et une crise de larmes ». C’est crédible. Mais non documenté.

Splashed!-style

Son look, lui, est devenu instantanément mythique : la coiffure ruche inspirée des Ronettes, l’eye-liner capable de découper une image en deux, les robes rétro qui semblaient trop délicates pour son énergie dévastatrice. Une esthétique qui mélange glamour Motown et punk intime – un mélange que seule Amy pouvait assumer.

Visuellement, Amy est un rêve, mais aussi un défi :
– contrastes très marqués
– noir profond
– grain volontairement imparfait
– mélancolie incrustée dans le cadre

Chez Splashed!, un portrait d’Amy n’a pas vocation à être lisse. Il doit garder les fissures, les ombres, la vérité brute. Un tableau d’Amy Winehouse est réussit quand on entend sa voix par les yeux.

Alors, ça fait pas vibrer vos neurones ces anecdotes cinéma et musique ?

anecdotes sur le cinéma et la musique concernant Amy Winehouse

Metropolis – Fritz Lang, la dystopie et l’armure impossible

Anecdotes documentées

Metropolis, c’est une prophétie filmée à coups d’ombres acérées et de décors impossibles. Fritz Lang, déjà obsédé par les formes géométriques et les angoisses modernes, a créé en 1927 l’une des visions futuristes les plus influentes de l’histoire du cinéma. Tout le monde a puisé dedans : Kubrick, Ridley Scott, Burton, Madonna, le concept art de la moitié des jeux vidéo cyberpunk.

  • Pour devenir le robot Maria, Brigitte Helm doit porter une combinaison rigide faite de plaques de bois, métal et cire. L’actrice a dû apprendre à tomber en avant sans se casser le nez. Le costume ne lui permettait pas de plier les genoux. Parfait pour jouer une machine. Moins parfait pour respirer. Elle décrit l’expérience comme « proche de la torture ».
  • Quant aux décors monumentaux – ascenseurs aériens, foules synchronisées, cathédrales industrielles – ils ont été en partie construits en maquettes gigantesques. Le plan de la ville illuminée ? Une combinaison délicieusement bricolée de verre poli, de microscopiques lampes et de dizaines d’assistants placés en ligne pour souffler la fumée de manière uniforme. L’ingéniosité allemande, version cinéma expressionniste.
    Source : Patrick McGilligan, Fritz Lang : The Nature of the Beast.

Lang n’était pas réputé pour ses journées spa, disons.

Anecdote « légende populaire »

  • On dit que Lang criait tellement qu’on aurait pu croire qu’il dirigeait une armée plutôt qu’un plateau. Aucun document ne le prouve… mais aucune biographie ne dit le contraire.

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Metropolis, c’est le futur imaginé par un homme qui ne connaissait ni la climatisation ni les horaires humains.
Chez Splashed!, on respecte Lang : pour créer une icône, parfois il faut souffrir… Bon, moi je fais ça sans armure métallique.
Visuellement, Metropolis coche toutes les cases du style Splashed! :
– contrastes tranchants dignes d’une gravure futuriste
– mécaniques presque organiques
– perspectives déformées
– personnages écrasés par l’architecture

En peinture digitale, cette atmosphère de monde qui a avalé l’humain produit des compositions puissantes, presque inquiétantes, où les lignes sont plus importantes que les visages.

Vous vouliez du croustillant ? Ces anecdotes cinéma et musique tartinent les mythes avec un niveau d’excès parfaitement inutile — donc essentiel.

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David Bowie – l’alien le plus documenté de l’histoire

Anecdote documentée

David Bowie est une succession de métamorphoses soigneusement orchestrées : Ziggy Stardust, Thin White Duke, Aladdin Sane… À chaque ère, un nouveau personnage, un nouveau son, une nouvelle planète esthétique.

  • Quand Bowie crée Ziggy, il s’inspire autant du kabuki japonais que des looks glam de Marc Bolan. Le personnage lui explose entre les doigts : perruque rouge, costumes sculpturaux, maquillage qui aurait rendu jaloux un peintre futuriste. Sur scène, Bowie jouait Ziggy comme un prophète venu annoncer la fin du monde – en chantant du rock.
  • Le nom « Ziggy Stardust » vient en partie d’un musicien obscur : The Legendary Stardust Cowboy. Bowie l’a confirmé dans une interview en 1973.
    Source : Rolling Stone, 1973.

Il n’y a que Bowie pour transformer un chanteur marginal en supernova glamour.

Anecdote « légende populaire »

  • Bowie aurait gardé des description et biographies fictives de plus de 100 alter ego dans des carnets. Aucun archiviste n’a confirmé. Mais quand tu changes de peau plus souvent qu’un caméléon hyperactif, la légende est crédible.

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Visuellement, c’est une mine d’or :
– couleurs électriques
– lignes cassées
– silhouettes androgynes
– fonds quasi cosmiques

Chez Splashed!, Bowie est un manuel de liberté artistique : chaque visuel peut devenir une série. Rien n’est définitif. Tout est mutation.

On n’est plus sur de l’info, on est sur du cataclysme : ces anecdotes cinéma et musique consolident les légendes façon big bang.

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Les Dents de la mer – Spielberg et le requin syndicaliste

Anecdote documentée

  • Les Dents de la mer est probablement le seul film de l’histoire où la véritable star… ne fonctionnait jamais. Bruce, le requin mécanique, était si capricieux qu’il passait plus de temps en panne que dans l’eau. Spielberg s’en plaignait tous les matins et bénit chaque heure de tournage sans explosion hydraulique. Le monstre censé terrifier le monde ? Un amas de tuyaux qui prenait l’eau. Cette catastrophe logistique a pourtant produit l’un des plus grands coups de génie du cinéma : montrer le requin le moins possible. Par nécessité. L’absence de monstre crée un suspense insupportable. Le public imagine, redoute, extrapole. Ce que Spielberg n’a pas prévu, c’est que cette contrainte technique deviendrait une leçon de mise en scène copiée partout depuis. Sans le requin défaillant : pas de chef-d’œuvre.
    Source : Carl Gottlieb, The Jaws Log, production journal officiel.

Anecdote « légende populaire »

  • On dit que l’équipe appelait Bruce « le divorce de Spielberg ». Aucune preuve écrite. Mais à force de couler, exploser, refuser de flotter… on veut bien le croire.

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Jaws, c’est le meilleur film jamais réalisé grâce à un accessoire pourri.
Chez Splashed!, Les Dents de la mer, c’est l’occasion rêvée de créer un tableau où l’eau gagne contre tout :
– reflets bleutés agressifs dans le sang
– silhouettes minuscules perdues dans l’immensité
– tension construite par le vide plutôt que par le monstre
– mouvement permanent, même dans le silence

Un bon tableau des Dents de la mer ne montre pas le requin : il montre la peur qu’il impose. C’est là que l’art rejoint la mise en scène de Spielberg.

Vous pensiez tout savoir ? Ces anecdotes cinéma et musique rafraîchissent les mythes comme une claque en stéréo.

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Serge Gainsbourg – poésie, groove et cendriers pleins

Anecdote documentée

Serge Gainsbourg a bâti une carrière entière sur un paradoxe : provoquer la société tout en la représentant mieux que quiconque. Il avait l’air de s’excuser d’exister, mais chaque mot sortait comme une grenade.
Dans les années 60, il compose comme d’autres respirent. Initials B.B., Bonnie and Clyde, Je t’aime… moi non plus : des titres écrits avec la précision d’un horloger et l’insolence d’un gamin trop intelligent. Jamais l’industrie musicale n’a autant hésité entre le génie et le scandale.

  • Sur Melody Nelson, c’est Herbie Flowers (bassiste légendaire ayant joué sur Walk on the Wild Side – Lou Reed – 1972) qui invente la ligne de basse culte… en 10 minutes. De plus lors du tournage, Gainsbourg insistait pour que la basse soit enregistrée au plus proche du micro. Résultat : une ligne de basse devenue référence mondiale. Une sensualité sonore qui n’existe nulle part ailleurs.
    Source : Herbie Flowers, BBC Archives & interviews INA.

Dix minutes. Une légende.

Anecdote « légende populaire »

  • Gainsbourg aurait écrit des textes sur des nappes de restaurant puis les aurait perdus. Aucune preuve. Mais connaissant l’homme… on n’exclut rien.

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Peindre Gainsbourg, c’est peindre la fumée autant que l’homme. La clope, le bourbon, la poésie. Un portrait en odeur froide.
Visuellement, Gainsbourg impose une grammaire :
– fumée omniprésente
– couleurs non saturées intemporelles
– regard blasé, mais perçant
– minimalisme iconique

Chez Splashed!, un tableau de Gainsbourg est une étude du charme désenchanté.

anecdotes sur le cinéma et la musique concernant Serge Gainsbourg

Ces anecdotes cinéma et musique révèlent la face cachée des icônes que nous accompagnent depuis longtemps.