Collection “Horreur Classique” – L’art qui fait frissonner sans hurler

Bienvenue dans la partie la plus sombre de Splashed! — là où les murs frémissent, les ombres s’allongent, et où même ton chat hésite à passer devant les tableaux. Ici, on parle de cinéma d’horreur, mais avec élégance : pas de sang qui coule, juste des yeux qui te regardent dans le noir.

Les monstres ont trouvé leur cadre

Le tableau de Ghostface ? Le seul masque qui fait peur même sans téléphone. Silence total, menace latente, et pourtant, impossible de décrocher le regard.
Jason Voorhees revient aussi, toujours aussi expressif sous son casque de hockey — la preuve qu’on peut avoir zéro réplique et rester iconique.
Et puis, il y a La Momie. En 1932, Boris Karloff ne souriait pas beaucoup, mais son regard disait tout. Ici, il hante la toile avec le chic d’un revenant bien élevé.

L’élégance du frisson

Nos peintures digitales rendent hommage à la tension, à l’atmosphère et à la beauté de la peur maîtrisée. L’art du sursaut contrôlé, du frisson noble — sans jump scare ni musique stridente. Chaque œuvre transforme la peur en esthétique : lumière tranchée, contraste saisissant, regard magnétique. Le genre de décor qui donne envie d’éteindre la lumière, juste pour voir si ça bouge.

Pour les amateurs d’angoisse raffinée

Ces tableaux sont faits pour ceux qui savent qu’un bon film d’horreur ne fait pas seulement trembler, il fascine. Une collection à contempler comme on regarde un vieux film en noir et blanc : avec un peu de respect… et une lampe allumée.

Chez Splashed!, les cauchemars se dessinent et s’exposent.